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Tout a commencé, dans un cinéma ou l’on présente des films érotiques super excitants, il en reste très peu ouvert a Paris, mais j’ai pris des habitudes depuis plusieurs années et je préfère de temps en temps me faire un bon ciné qu’une VHS ou un DVD.
Ne sachant que faire de ta soirée, tu étais entrée quelques minutes après le début de la représentation de 21 heures, Comme la salle était relativement remplie par des gens éparpillés un peu partout, et ne voulant pas les déranger, tu t’es assises dans les derniers rangs, Et de cet endroit isolé des autres, te disais-tu, c’est facile de voir ce qui se passe et de suivre le manège de certains d’un oeil furtif et coquin.
Depuis longtemps, ton petit côté voyeuriste te poussait à tenter de te retrouver dans une ambiance, ou ça sent le sexe et l’excitation, mais jusque là tu t’étais retenue, Tu t’étais contenue, te connaissant, surtout de peur de ne pas pouvoir te contrôler, Dans la pénombre de la salle, tu aperçus un couple à quelques mètres de toi, que tu semblais suspecter de manigancer leur petit jeu de frottis frottas.
Ce couple ne s’étant pas rendu compte de ta présence, discrètement et à leur insu, tu t’es rapprochée afin de pouvoir bien te rincer l’oeil et profiter de ce spectacle live, J’étais avec une amie et nous étions si occupés, que ni elle ni moi ne nous savions épier par ton regard.
Malgré l’obscurité tu as vite remarquée que la fille avait les seins à l’air et qu’elle farfouillait dans ma braguette, La tête renversée sur le dossier, chemisier ouvert, tu la vois se laisser téter la pointe des seins, Lentement et avec fébrilité je lui ai remonté la jupe jusqu’aux hanches, Tu ne perds rien de la scène,
Elle a les cuisses écartées et dans le noir, tu vois clairement la blancheur de son petit slip dans lequel j’ai glissé ma main, Elle s’est mise à bouger à un rythme de plus en plus rapide, Tu commençais à ressentir une chaleur dans ta petite culotte et ton entrejambe te démangeait, C’est à ce moment, que tu décidas de te libérer de ton slip pour mieux ressentir ce que ces ébats te provoquaient,
Quand la fille s’est cambrée et que tu l’as vue rouler elle-même son propre slip de ses hanches jusqu’au bas de ses mollets, une sourde excitation s’est mise à te ronger la chatte,
Elle avait la vulve bien dégagée et moi, libre de mes mouvements, je ne me gênais pas pour la branler avec frénésie, Une certaine lueur ne te permettait de profiter de tous les petits détails, mais la fille devait se régaler si t’en jugeais par le bruit de clapotis qui accompagnait le va-et-vient,
Tu étais dans un tel état d’excitation à nous espionner que tu n’as pas pu t’empêcher de glisser ta main au beau milieu de ton entrejambe, . Ta chatte suintait déjà et était toute mouilassée,
Délicatement et nerveusement tu t’es écarté, tes lèvres pulpeuses et gonflées, puis tu t’es enfoncé deux doigts dans la chatte, . Quand mon amie a commencé à jouir en haletant, tu t’es adossée à ton siège et, cuisses largement entrouvertes, tu t’es branlée te massant le clito jusqu’à l’orgasme,
Ta jouissance fut si forte que tu as dû te mordre les lèvres pour ne pas gémir et ainsi alerter les alentours de ce moment d’extase, . Quand tu as ouvert les yeux, la fille dégageait ma grosse queue du jeans qui l’étouffait, . Dans le noir, elle te paraissait si désirable, que tu en serrais les jambes, Tout à coup tu aperçus la fille qui s’est inclinée vers l’avant et l’a prise dans sa bouche, Le spectacle de cette gourmande succion était si excitant que tu t’es remise a te masturber de nouveau, Mais cette fois tu t’imaginais que ce n’était plus tes doigts, mais cette grosse et belle bitte qui te ramonait la chatte,
Le mouvement s’accélérait au rythme de sa bouche qui plongeait et replongeait pour m’engouffrer totalement, À l’aide de sa main, qui me caressait et qui explorait délicatement ma raie fessière pour s’introduire dans mon anus, Je ne pus me contenir plus longtemps, et mon gland pétris par ses lèvres, par de violents spasmes explosa de ma verge durement tendue, des flots de sperme qui disparurent et qu’elle avala telle une ondée d’un précieux champagne qu’elle retint goulûment, Et toi à cette vue, il ne t’a pas fallut longtemps pour avoir un autre orgasme encore plus électrisant et plus chavirant que le précédent,
Et depuis ces instants inoubliables, tu reviens sur les lieux qui t’ont apportés des sensations aussi sublimes, Tu surveilles les couples d’amoureux et tu te branles comme une folle en les regardant se déshabiller, se caresser et se donner du plaisir, Pour t’y rendre maintenant tu ne mets plus ni culotte ni soutien-gorge, Et quand tu es mûre pour une branlette, tu relèves carrément le bas de ta jupe ou ton tailleur, découvrant sans vergogne tes cuisses et ton con bien juteux et bien fendu, Il t’arrive de plus en plus d’espérer qu’un spectateur va te surprendre et que sa main va remplacer la tienne, Tu sais que tu te laisserais faire, Et moi je pense, que si cela tarde trop à venir, c’est toi qui ira s’asseoir à côté d’un solitaire et qui commencera à te caresser et à te branler sans honte ni retenue, en sachant très bien que tu obtiendras de sa part une entière collaboration pour vivre une expérience qui ne te laissera pas sur ton appétit.
Post-scriptum :
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